Traindu futur : premier test avec passagers pour Virgin Hyperloop. Futurs trains régionaux, TGV nouvelle génération ces projets de trains du futur de la SNCF. La première flotte de trains

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Leprojet, considéré par certains comme de la science-fiction, permettrait de parcourir en 30 minutes les quelque 600 kilomètres séparant Los Angeles de San Francisco, et il est ouvert aux offres concurrentes de plusieurs entreprises de la high-tech.
Shervin Pishevar, cofondateur d'Hyperloop One, à Las Vegas le 10 mai 2016 / AFP La compagnie française de chemins de fer SNCF a investi dans l'une des startups américaines qui travaillent sur le projet futuriste de train à très grande vitesse "Hyperloop", né de l'imagination du milliardaire américain Elon entrepreneur touche-à-tout, déjà derrière les voitures électriques Tesla et le lanceur de satellites SpaceX, avait lancé en 2013 l'idée de propulser des passagers dans des capsules circulant sur des coussins d'air dans un tube à basse projet, considéré par certains comme de la science-fiction, permettrait de parcourir en 30 minutes les quelque 600 kilomètres séparant Los Angeles de San Francisco, et il est ouvert aux offres concurrentes de plusieurs entreprises de la représentant l'Hyperloop dévoilé à San Francisco le 12 août 2013 / TESLA MOTORS/AFP/Archives C'est dans l'une d'entre elles, tout juste rebaptisée Hyperloop One ex-Hyperloop Technologies que la SNCF a investi, a confirmé mardi cette startup basée à Los Angeles, à la veille d'une démonstration "à échelle et vitesse réelle" de ce qu'elle a réussi à accomplir jusqu'ici dans le désert à proximité de Las Vegas. Elle n'a pas précisé le montant exact du financement apporté par la SNCF, saluée comme "l'une des forces principales derrière le rail à haute vitesse en Europe", indiquant juste qu'il faisait partie d'une levée de fonds de 80 millions de dollars, à laquelle ont également participé 9 autres investisseurs. On retrouve parmi eux beaucoup de fonds de capital-risque, mais aussi GE Ventures, une branche d'investissement du conglomérat industriel américain General Eliminer les distances -"La réponse impressionnante que nous avons eu confirme déjà ce que nous avons toujours su, que Hyperloop One est à l'avant-garde d'un mouvement pour résoudre l'un des problèmes les plus pressants de la planète", a affirmé mardi Shervin Pishevar, cofondateur et président du conseil d'administration de la startup, disant voir se rassembler "les esprits les plus brillants" pour "éliminer les distances et les frontières".Aux-delà des liens financiers, Hyperloop One revendique aussi la caution d'une série d'autres spécialistes du secteur du transport, avec l'annonce parallèle mardi de plusieurs "partenariats mondiaux". Ils impliquent notamment les sociétés d'ingénierie française Systra filiale de la SNCF et la RATP et allemande Deutsche Bahn Engineering and Consulting, ou encore le groupe suisse Amberg, présenté comme un expert dans l'infrastructure de transport et les tunnels."Je pense que cela va changer le comportement humain" et "faire pour le monde physique ce qu'internet a fait pour le monde numérique", a commenté mardi Andrew Liu, vice-président d'un autre de ces nouveaux partenaires, AECOM. "Mon fils ne saura jamais ce qu'est une relation à longue distance, parce que 300 ou 400 miles 480 à 640 kms NDLR représenteront une navette de 20 minutes."Hyperloop One est tellement confiante dans l'avancée de son projet qu'elle a en outre lancé mardi un concours mondial dans lequel on peut lui proposer des endroits où installer son startup américaine dit déjà participer notamment à une étude de faisabilité privée sur les avantages potentiels de connexions Hyperloop en Finlande et en Suède, et à une autre sur la création éventuelle d'un système de transport de fret en avait déjà promis l'an dernier pour 2016 une révolution digne de "Kitty Hawk", le petit village de Caroline du Nord proche de l'endroit où les frères Wright avaient fait voler le premier avion en disait alors vouloir démarrer cette année des essais sur une voie d'environ un kilomètre avec des vitesses allant jusqu'à 540 kilomètres/heure, avant de construire un prototype grandeur nature un tube de trois kilomètres utilisable jusqu'à environ km/h.Une autre société américaine, Hyperloop Transportation Technologies, n'entend toutefois pas lui laisser la voie libre. Elle a encore vanté en début de cette semaine son propre système breveté basé sur la lévitation magnétique, permettant selon elle "d'éliminer le besoin de relais électriques le long du parcours" et donc de réduire les coûts de construction et les problèmes en cas de coupure de courant.
Laversion française de l’Hyperloop prend tournure depuis le centre de recherche et de développement installé sur l’ex-base militaire de Toulouse-Francazal. En janvier 2017, la Région Occitanie a décidé de s’associer au projet, et d’investir 1 million d’euros. De même, la SNCF a rejoint l’expérimentation de ce mode de transport révolutionnaire. Animée par l'ambition de lancer ce qui pourrait être l'une des formes majeures de transport en commun du vingt et unième siècle, Virgin Hyperloop a livré davantage de détails sur la technologie. Détails qui apportent une meilleure crédibilité au projet initial. À la limite entre le fantasme d'ingénieurs et la science-fiction, la technologie hyperloop, censée relier de grandes villes en un rien de temps à bord de navettes avançant à environ 1 080 km/h dans des tunnels, est peut-être en train de redonner espoir à ses concepteurs et aux curieux. Virgin Hyperloop, l'une des nombreuses sociétés à avoir emboité le pas à un Elon Musk qui avait évoqué l'idée de le construire en 2012 s'inspirant lui-même des spéculations de Robert Goddard sur le concept au tout début du vingtième siècle, a publié, en début de semaine, une vidéo détaillant la technologie et son fonctionnement. Une technologie qui se dévoile peu à peu En publiant une vidéo explicative du fonctionnement de son concept, Virgin Hyperloop veut faire plus qu'impressionner. L'entreprise veut convaincre de la faisabilité de son projet. Ainsi, dans la vidéo, on peut apercevoir les moteurs de lévitation embarqués, les moteurs de propulsion et les batteries haute puissance, qui n'avaient jusque-là pas été conceptualisées. Virgin Hyperloop explique que l'architecture de l'appareil permet d'atteindre des vitesses élevées globalement trois fois supérieure à celle d'un train à grande vitesse et d'attester d'une faible consommation d'énergie, grâce à la quasi-élimination de la traînée aérodynamique. Dans le détail, la partie moteur de la navette est composée d'un ensemble modulaire de 4 moteurs de propulsion, ce qui permet à cette dernière d'atteindre les 1 000 km/h en moins de 5 minutes. Le véhicule, lui, lévite par le haut grâce à une force électromagnétique attractive, alimentée par les batteries embarquées. Virgin Hyperloop affirme que ce système de lévitation est plus de 8 fois plus efficace que le train à sustentation magnétique Maglev le plus rapide du monde, la Chine ayant dévoilé le mois dernier un modèle capable d'atteindre les 600 km/h, du moins sur le papier. Les moteurs de lévitation embarquent des électroaimants permettant de soulever le véhicule, qui avance dans un tube dont l'environnement est proche du vide, grâce à une très basse pression. Une circulation de passagers avant la fin de la décennie ? Virgin Hyperloop a surtout fait des annonces sur la partie commerciale du train supersonique. Et la première concerne directement le design même du véhicule. La lévitation, la puissance et la propulsion ont été déplacées sur la nacelle. L'hyperloop est capable d'assurer un service à la demande et de répondre à un débit élevé, en faisant voyager ses véhicules en convois. Sauf qu'à la différence des wagons de train, les pods ne sont pas directement connectés entre eux. Ils ne sont pas physiquement attachés les uns aux autres, ce qui permet à chacun des véhicules de prendre une direction adaptée à sa destination finale, tout comme une voiture prend une bretelle de sortie », note l'entreprise. Désormais, Josh Giegel, le de Virgin Hyperloop, viserait une commercialisation entre 2027 et 2029 pour le transport de passagers, contre 2030 initialement. Les marchandises, elles, pourraient circuler encore plus tôt.
\n le projet de train hyperloop permettrait aux passagers
Premierrecord de vitesse en 2017 sans passagers (386 km/h) et des annonces concrètes pour la mise en service de lignes aux Emirats Arabes Unis et en Inde, ainsi que des études de faisabilité aux Etats-Unis notamment. Depuis, l’entreprise qui visait de premiers trajets commerciaux pour le milieu des années 2020, a récemment procédé au premier voyage de Publié le 8 nov. 2016 à 1834L'Hyperloop, système de transport futuriste, a tout pour séduire Dubaï, cité-Etat ultra-moderne. Un accord a été signé ce mardi entre l'Autorité des routes et des transports RTA de Dubaï et l'entreprise californienne Hyperloop One. Ce coup d'envoi ne garantit pas que le "train supersonique" verra le jour dans la grande ville des Emirats arabes unis, mais le projet est sérieusement envisagé. Avec cet accord historique », nous allons commencer à évaluer la possibilité de fournir le premier système mondial Hyperloop », a ainsi déclaré Rob Lloyd, le patron de la compagnie le nouveau système de transport est adopté, il ne faudra que 12 minutes pour faire les 150 km séparant Dubaï d’Abou Dhabi. Le réseau pourrait être ensuite étendu à la région, mettant Dubaï à 50 minutes de Ryad, la capitale saoudienne, qu’un avion atteint actuellement en deux fonctionne l’Hyperloop ?Ce nouveau mode de transport consiste à propulser à très grande vitesse - grâce à un champ électromagnétique - des navettes transportant des passagers ou des marchandises, flottant sur des coussins d’air pressurisé, dans un tube à basse pression. Etroit et en acier, ce tube peut être autant aérien que souterrain. Un tel système pourrait atteindre la vitesse de km/h, selon Josh Giegel, responsable de l'ingénierie de la firme créée en premier test a été en vue d'une commercialisation en 2020-2021 Hyperloop One assure que son système est plus sûr que l’avion, moins coûteux que le train à grande vitesse et ne consomme par personne que peu d’énergie de quoi propulser une idée de voyager dans des capsules s’affranchissant de tout frottement a depuis longtemps traversé l’esprit de chercheurs, mais c’est le milliardaire américain Elon Musk qui a relancé le concept en 2013. Le fabricant des voitures électriques Tesla et des fusées réutilisables SpaceX a détaillé ce projet d’un cinquième mode de transport », après le train, l'avion, la voiture et le avait initialement été pensé pour rejoindre Los Angeles et San Francisco en 30 minutes, un tronçon finalement abandonné car trop risqué. Désormais envisagé aux Emirats arabes unis, le train du futur permettrait de propulser voyageurs et marchandises entre Dubaï et Abou Dhabi en moins de 12 minutes, deux villes séparées de plus de 150 points du projet restent à régler ?Ces premières études se concentreront sur la valeur que Hyperloop One apporterait à Dubaï et à l’ensemble des Emirats ». Aucune date n’a été évoquée pour la mise en place du système, mais, toujours selon Rob Lloyd, il est faisable, d’un point de vue technique, de construire un Hyperloop aux Emirats dans cinq ans ».Pour sa part, le directeur général de RTA, Mattar al-Tayer, a expliqué que le coût du système serait un important facteur » lorsqu’il s’agira de l’adopter, en plus des questions de sécurité et des études de importante plate-forme commerciale et touristique avec 14,2 millions de visiteurs en 2015, se veut à la pointe de l’innovation et des nouvelles technologies. Début septembre, un minibus électrique et sans chauffeur a déjà été mis en place pour une période expérimentale d’un teaser de l’accord Dubaï-Hyperloop
Ceprojet initié par le milliardaire américain Elon Musk (fondateur de Tesla et SpaceX), permettrait de parcourir en 30 minutes les 600 kilomètres séparant Los Angeles de San Francisco en allant à une vitesse de 1 000 km/h. Le train passerait dans un tube ce qui supprimerait la pression atmosphérique et les frottements de l’air. Un réseau test sera
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus. Ce mardi 29 Avril 2008 le gouvernement argentin signe le contrat d’adjudication, d’un montant de près de quatre milliards de dollars, pour la réalisation du premier train à grande vitesse d’Amérique latine entre Buenos Aires et Cordoba, située à 700 km au nord-ouest de la Argentine, beaucoup de voix se sont exprimées contre ce projet évalué à un cout global de 4 milliards de dollars et financé par un prêt de la Société générale. Pino Solanas, le réalisateur de documentaires comme le "Saccage de l'Argentine" sur l'ultra libéralisme de Menem et la "Hora de los Hornos" "l'heure des brasiers"sur les années soixante dix, qui a été candidat de Gauche à l'élection présidentielle de 2003, dénonce le projet du "Tren Bala" "Train Balle" comme étant un un "disparate" , "une connerie", "disparate" peut être aussi utilisé pour "tirer un coup de feu contre le pays", jeu de mot avec "balle"Les opposants font valoir que les gouvernements ultra libéraux, ont suivi les recommandations du FMI, ont démantelé son réseau ferroviaire 80 % du réseau a disparuavec la politique de privatisation généralisée des années 90 et il ne reste presque plus de réseau de marchandises ou de passagers en activité dans le pays. Partout, les ferrailleurs proposent de superbes madriers en chêne indestructible qui sont les traverses des rails démontés. La circulation de passagers et de marchandises est maintenant entre les mains des entreprises privées de Bus pullman et de camions polluants l’ la France arrêtera t'elle de vendre des armes et des projets industriels inadaptés aux pays émergents ? Les cocoricos sur notre super technologie devraient se faire entendre avec plus de discernements. Quelle politique de coopération ? On est en pleine politique impérialiste comme en soutenant Suez qui n'a pas respecté ses contrats de traitement des eaux en Argentine et qui exigent des réparations au tribunal du CIADI à Paris pour rupture de TGV risque d’être réservé aux classes moyennes et supérieures. Le futur prix des billets devrait exclure les classes populaires. Le projet fait craindre une dépendance à l’égard de la technologie française, à cause de sa complexité par rapport à un train ordinaire. Cela ne réactive pas l’industrie ferroviaire nationale. Et le financement augmentera la dette projet "Train pour tous" a été évalué en comparaison 120 km à l’heure 3 fois plus que la moyenne des trains encore en circulation 3,1 milliards de dollars. 1 milliard de dóllar de moins que le TGV. 18000 km de voies reconstruites 7000 Km de voies pour les trains de passagers et 11000 pour les trains de marchandises Les billets de train pourraient couter moins cher que les billets dans les bus actuels. Le réseau desservirait toutes les zones du pays Nord Ouest, Nord est, Centre et Patagonie, à toutes les grandes villes et à des centaines de petites villes qui seraient réactivées La construction de ce réseau utiliserait une technologie nationale et régionale du Mercosur et réactiverait l’industrie nationaleLe consortium Veloxia emmené par la firme française Alstom a remporté cette adjudication en janvier dernier. Il était le seul candidat en lice, pour cette liaison à grande vitesse, à travers la pampa, entre la capitale argentine et deux des villes les plus importantes du pays, Rosario et Cordoba. Le corridor Buenos Aires-Rosario-Cordoba est l’axe de communication le plus important d’Argentine. Ces trois villes, qui comptent quelque 15 millions d’habitants, sont au coeur du complexe agro-alimentaire argentin, en pleine expansion depuis cinq ans à la faveur de la forte hausse des matière premières agricoles. Alstom a prévu de faire circuler sur cet axe jusqu’à huit trains à deux étages.
Quantà la société Virgin Hyperloop One, elle a certes annoncé l’année dernière plusieurs projets ambitieux, comme une ligne européenne qui permettrait aux passagers d’effectuer le trajet Vienne-Bratislava-Budapest en moins de 30 minutes, une autre qui relierait (en passant sous la Baltique), en 28 minutes Stockholm à Helsinki, ou encore une ligne Hyperloop
Hyperloop, le projet de transport révolutionnaire du patron de Tesla Motors, Elon Musk est en passe de devenir réalité. Des tests vont être réalisés en Californie. Très rapide, écologique, sans bruit, voilà un mode de transport idéal qui pourrait bien devenir réalité d’ici quelques années. Voilà 2 ans qu’Elon Musk avait dévoilé le projet Hyperloop, un train super rapide, capable de voyager à des vitesses atteignant 1300 km/h. En Californie, des tests pourraient être lancés bientôt. Hyperloop le projet fou d’Elon Musk En 2013, Elon Musk, le PDG de Tesla Motors, fondateur de SpaceX et créateur de PayPal présentait son projet de train supersonique capable d’atteindre 1300 km/h. Ce projet un peu fou permettrait théoriquement de relier Los Angeles à San Francisco en une trentaine de minutes ou encore Paris à Marseille en 40 minutes. Ce système permettrait des voyages de jour comme de nuit et indépendamment des conditions météorologiques. En outre, un tel transport ne nécessiterait que peu d’énergie qui serait produite grâce à des panneaux solaires et des éoliennes. Le principe de l’Hyperloop réside dans la possibilité de faire voyager des capsules à l’intérieur de tubes soutenus par des pylônes en réduisant au minimum la pression de l’air dans ces tubes. Chaque capsule pourrait accueillir jusqu’à 30 passagers. Elon Musk décrit son concept dans un document de 57 pages et aujourd’hui une compagnie américaine a été créée pour concrétiser ce projet Les premiers tests en 2016 ? L’entrepreneur Dirk Ahlborn, très intéressé par le projet du milliardaire Musk, a créé une entreprise nommée Hyperloop Transportation Technology HTT afin de réunir du personnel qui souhaite travailler à sa concrétisation. Aujourd’hui l’entreprise compte des collaborateurs dans plusieurs coins du globe. Invité au World Forum for Responsible Economy de Lille, Dirk Ahlborn annonçait que des premiers tests allaient être effectués sous peu “Nous allons commencer en 2016 la construction d’un premier tronçon test à Quay Valley Californie, sur 8 kilomètres. Nous le faisons aux Etats-Unis car nous avons accès au terrain. Mais, à terme, la première ligne Hyperloop pourrait naître partout dans le monde. Nos marchés cibles sont la Chine, l’Inde, l’Indonésie, Singapour, le Moyen-Orient et l’Afrique“, déclarait-il.
leprojet de train hyperloop permettrait aux passagers, installés dans les capsules circulant surs coussins d'airs, de voyager à 1200km/h. 1) quelle distance pourrait parcourir ce train en 1sec? 2) combien de temps mettrait l'hyperloop pour réaliser le trajet paris-marseille (700 km) ? exprime le résultat en heure et minute. d'avance
Au conseil régional, un groupe de travail va être mis en place sur l’Hyperloop moyen de transport qui permettrait de propulser des capsules transportant des passagers ou des marchandises à des centaines de kilomètres par heure, dans un double tube basse pression surélevé. “Un projet industriel exceptionnel” pour Renaud Pfeffer, vice-président du conseil départemental. Alors que la création d'un centre de recherche et de développement du projet de capsules de train subsonique a été annoncée à Toulouse, le groupe Socialistes, démocrates, écologistes et apparentés, par le biais de Stéphane Gemmani, a déposé une résolution à l'assemblée plénière du conseil régional en faveur de la constitution d'un groupe de travail sur l'Hyperloop. Un vœu initié par le groupe socialiste et adopté grâce au vote d'élus de droite. La constitution de ce groupe, à laquelle Laurent Wauquiez n'était pas forcément favorable, est une bonne nouvelle pour le maire de Mornant, Renaud Pfeffer LR, qui a bien l'intention d'être le promoteur de ce train du futur parmi les élus locaux. "L'Hyperloop va voir le jour. Le monde avance sur ce genre de sujet. Notre pays a un rôle à jouer en tant que promoteur et fondateur du TGV ou d'Ariane. À l'époque du TGV, le projet était vu comme extraterrestre. J'ai l'impression que c'est la même attitude, que nous n'avons plus l'audace alors que c'est un projet industriel exceptionnel qui permettrait d'être une alternative complémentaire à la voiture, au train et à l'avion. Au-delà de gagner du temps, le problème du fret européen est un sujet économique majeur pour l'Europe. On va mettre trente ans pour les projets de fret ferroviaire, mais est-ce que dans trente ans nos trains ne seront pas complètement dépassés ?" s'interroge l'élu. “Concurrencer Séoul, Los Angeles ou les émirats” Un an plus tôt, alors qu'un prototype était testé aux États-Unis, des étudiants de l'École des mines de Saint-Etienne avaient calculé qu'un Hyperloop pourrait relier Lyon à Saint-Etienne en seulement huit minutes, en réduisant l'impact écologique du déplacement, de quoi ringardiser le projet d'autoroute A45 remis sur le tapis par Laurent Wauquiez et largement contesté. Si un projet d'Hyperloop pourrait permettre une sortie par le haut sur la question de l'A45, il serait bien trop tôt pour l'envisager. "Que ce soit pour Lyon/Saint-Etienne, Lyon/Toulouse ou Lyon/Le Puy-en-Velay est une question qui viendra après, poursuit Renaud Pfeffer. Aujourd'hui, il s'agit de savoir comment la France va concurrencer Séoul, Los Angeles ou les émirats. La Corée annonce l'Hyperloop pour 2022, ce qui à mon avis est un peu trop ambitieux, mais il est aussi prévu une liaison Dubaï-Abu Dhabi qui pourrait selon moi être la première à voir le jour. La région Auvergne-Rhône-Alpes est une terre d'innovation, mais elle manque d'infrastructures. La création d'un groupe de travail est un message fort envoyé au pays et à l'Europe celui que nous croyons en l'Hyperloop." Une croyance qui n'est pas partagée par le président du conseil régional mais qui se concrétise par un groupe de travail au sein de ce conseil. Une impulsion qui devrait se décliner au niveau du département du Rhône et de la métropole de Lyon. Article mis à jour à 13h15 Articlede personnes se place une gestion de bus et de navigateur pour bus pollution le concurrent du corps brûle beaucoup plus de demain. Sept lignes à l’ensemble de la mise en 2018 et de brûlages et le comportement responsable d’une flotte par usbek et citoyenne pour les batteries dans le parc automobile, d’une puissance de service répond à l’hydrogène, une La construction de l'Hyperloop est entrée dans une nouvelle dimension. Imaginé par Elon Musk, l'Hyperloop est un train supersonique qui doit permettre de transporter des passagers dans des tubes quasiment vides d'air à une vitesse pouvant atteindre km/h. De quoi relier Paris et Marseille en une quarantaine de minutes quand il faut aujourd'hui 1h15 d'avion, sans compter le temps passé dans les aéroports et les transports annexes. L'ingénieur et patron de SpaceX et Tesla Motors voit dans cette invention le cinquième transport après le bateau, la voiture, l'avion et le train. Deux entreprises travaillent en parallèle à la concrétisation du projet Hyperloop Technologies et Hyperloop Transportation Technologies. Un circuit de test de 5km dans le désert du NevadaLa première, Hyperloop Technologies, a lancé la construction d'une piste d'essai de 5 kilomètres de long dans un terrain de mètres carrés situé dans le désert du Nevada, à proximité de Las Vegas. Dans un premier temps, les tests chercheront à atteindre la vitesse de 540 km/h en 2 secondes sur un segment d'un kilomètre, précise 01Net. L'objectif est ensuite d'y faire circuler un prototype de train capable d'atteindre la vitesse de km/h d'ici la fin du premier trimestre et d'y expérimenter le système de propulsion. L'avancement des travaux d'Hyperloop Technologies a fait l'objet d'un reportage exclusif de la chaîne CNN le 15 janvier dernier dans lequel apparaissent de gigantesques cubes d'une dizaine de mètres de long et de plus de 2 mètres de diamètre, hermétiquement scellés les uns aux autres, dans lesquels doivent être propulsées les capsules de transport de personnes. Concentrée sur le transport de fret, Hyperloop Technologies espère faire circuler les premiers Hyperloop commerciaux dès 2021 voire dès 2020. Une piste de test de 8 km en CalifornieDavantage tournée vers le transport de passagers, Hyperloop Transportation Technologies, la seconde start-up à l'ouvrage, a installé son grand chantier sur un terrain proche de la ville de Quay Valley, en Californie, entre San Francisco et Los Angeles. HTT a obtenu ces derniers jours l'aval des autorités du comté de Kings pour lancer la construction d'un tronçon d'expérimentation de 5 miles, environ 8 kilomètres, sur son terrain de Quay Valley. Le chantier devrait démarrer cet été lorsque les fondations auront été creusées. Le projet de segment d'expérimentation de l'Hyperloop de la société HTT Crédit Hyperloop Transportation Technologies "Après plus de deux ans et demi de recherche et développement, nos équipes passent un nouveau pallier. Nous disposerons du premier système Hyperloop au monde capable de transporter des passagers", s'est félicité le PDG de la société, Dirk Ahlborn, dans un communiqué relayé par The Verge. Hyperloop Transportation espère pouvoir transporter ses premiers voyageurs d'ici deux ans et relier, à terme, Los Angeles et San Francisco, distantes de près de 500 kilomètres, en seulement une demi-heure. Encore des obstacles à surmonterConcrètement, comment l'Hyperloop fonctionnerait-il ? Selon les plans dévoilés par Elon Musk, l'Hyperloop serait un "croisement entre le Concorde et le canon à propulsion magnétique". Dans un tube fermé et isolé, des capsules indépendantes ultralégères pour transporter les passagers seraient posées sur des coussins d'air pressurisé, ce qui limiterait les frictions dans le déplacement. Côté moteur, les capsules seraient équipées d'un système créant un champ électromagnétique, au fonctionnement similaire à celui des moteurs des voitures électriques Tesla. Combien coûterait un voyage dans un tel engin ? Selon le patron de Tesla Motors, père spirituel de l'Hyperloop, un aller-simple entre San Francisco et Los Angeles ne coûterait aux passagers qu'une vingtaine de dollars. Reste à savoir si ces prix, qui ne sont pour l'instant qu'une supposition, seront réellement ceux appliqués à cette capsule supersonique. Même si le projet devient plus concret de mois en mois, certains points restent encore à élaborer. Le design des capsules, le diamètre des tubes, mais aussi les villes qui pourraient être desservies par le nouveau moyen de transports. Car en février 2015, le rêve fou d'Elon Musk se heurtait à une barrière de taille obtenir un droit de passage dans chaque ville pour construire le tube et ses points de desserte, précisément alors que les espaces concernés sont déjà urbanisés et fortement congestionnés. Pour les entreprises qui travaillent sur le projet, c'est donc une longue route qui s'annonce. L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info Celleci s’apprête à construire une piste d’essai de 3 km, à Droux (Haute-Vienne), pour développer son projet Hyperloop. Le permis de construire est en passe d’être accordé. Selon le

Économie La société française s'est associée à une start-up américaine pour "faire pour le monde physique ce qu'Internet a fait pour le monde numérique". Une révolution. La SNCF a participé à une levée de fonds de 80 millions de dollars, avec neuf autres investisseurs. © Pascal Deloche/Godong La SNCF a investi dans l'une des start-up américaines qui travaillent sur le projet futuriste de train à très grande vitesse Hyperloop », né de l'imagination du milliardaire américain Elon Musk. Cet entrepreneur touche-à-tout, déjà derrière les voitures électriques Tesla et le lanceur de satellites SpaceX, avait eu en 2013 l'idée de propulser des passagers dans des capsules circulant sur des coussins d'air dans un tube à basse pression. Considéré par certains comme de la science-fiction, le projet permettrait de parcourir en 30 minutes les quelque 600 kilomètres séparant Los Angeles de San Francisco, et il est ouvert aux offres concurrentes de plusieurs entreprises du high-tech. C'est dans l'une d'entre elles, tout juste rebaptisée Hyperloop One ex-Hyperloop Technologies, que la SNCF a investi, a confirmé mardi cette start-up basée à Los Angeles, à la veille d'une démonstration à échelle et vitesse réelle » de ce qu'elle a réussi à accomplir jusqu'ici dans le désert à proximité de Las Vegas. Elle n'a pas précisé le montant exact du financement apporté par la SNCF, saluée comme l'une des forces principales derrière le rail à haute vitesse en Europe », indiquant juste qu'il faisait partie d'une levée de fonds de 80 millions de dollars, à laquelle ont également participé neuf autres investisseurs. On retrouve parmi eux beaucoup de fonds de capital-risque, mais aussi GE Ventures, une branche d'investissement du conglomérat industriel américain General Electric. Éliminer les distances et les frontières La réponse impressionnante que nous avons eue confirme déjà ce que nous avons toujours su, que Hyperloop One est à l'avant-garde d'un mouvement pour résoudre l'un des problèmes les plus pressants de la planète », a affirmé mardi Shervin Pishevar, cofondateur et président du conseil d'administration de la start-up, disant voir se rassembler les esprits les plus brillants » pour éliminer les distances et les frontières ». Aux delà des liens financiers, Hyperloop One revendique aussi la caution d'une série d'autres spécialistes du secteur du transport, avec l'annonce parallèle mardi de plusieurs partenariats mondiaux ». Ils impliquent notamment les sociétés d'ingénierie française Systra filiale de la SNCF et la RATP et allemande Deutsche Bahn Engineering and Consulting, ou encore le groupe suisse Amberg, présenté comme un expert dans l'infrastructure de transport et les tunnels. Je pense que cela va changer le comportement humain » et faire pour le monde physique ce qu'Internet a fait pour le monde numérique », a commenté mardi Andrew Liu, vice-président d'un autre de ces nouveaux partenaires, AECOM. Mon fils ne saura jamais ce qu'est une relation à longue distance, parce que 300 ou 400 miles 480 à 640 kilomètres représenteront une navette de 20 minutes. » De 540 km/h jusqu'à 1 120 km/h Hyperloop One est tellement confiante dans l'avancée de son projet qu'elle a en outre lancé mardi un concours mondial dans lequel on peut lui proposer des endroits où installer son système. La start-up américaine dit déjà participer notamment à une étude de faisabilité privée sur les avantages potentiels de connexions Hyperloop en Finlande et en Suède, et à une autre sur la création éventuelle d'un système de transport de fret en Suisse. L'entreprise avait déjà promis l'an dernier pour 2016 une révolution digne de Kitty Hawk », le petit village de Caroline du Nord proche de l'endroit où les frères Wright avaient fait voler le premier avion en 1903. Elle disait alors vouloir commencer cette année des essais sur une voie d'environ un kilomètre avec des vitesses allant jusqu'à 540 km/h, avant de construire un prototype grandeur nature un tube de trois kilomètres utilisable jusqu'à environ 1 120 km/h. Une autre société américaine, Hyperloop Transportation Technologies, n'entend toutefois pas lui laisser la voie libre. Elle a encore vanté en début de cette semaine son propre système breveté basé sur la lévitation magnétique, permettant, selon elle, d'éliminer le besoin de relais électriques le long du parcours » et donc de réduire les coûts de construction et les problèmes en cas de coupure de courant. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Hyperloop la SNCF investit dans le projet de train du futur Soyez le premier à réagir Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.

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